Distinctions
Récapitulatif des médailles qui contribuent à la notoriété de notre cru :
Château Troquart
|
Millésime |
Médailles |
|
1999 |
Médaille d’argent au Concours des Vignerons Indépendants 2001 |
|
2000 |
Médaille d’argent au Concours des Vins de Bordeaux 2002 |
|
2002 |
Médaille d’argent au Concours des Vignerons Indépendants 2004 |
|
2004 |
Médaille d’argent au Concours des Vignerons Indépendants 2006 |
|
2005 |
Médaille de bronze au Concours des Vins de Bordeaux 2007 |
|
2007 |
Médaille de bronze au Concours des Vignerons Indépendants 2010 Médaille d’argent au Concours des Vins de Bordeaux 2010 |
| 2009 |
3 étoiles lors de la sélection "Un Vin Presque Parfait" 2012 1 étoile sur le Guide Hachette 2012 |
Château Troquart Cuvée Auguste
|
Millésime |
Médailles |
|
2005 |
Médaille d’or au Concours des Vignerons Indépendants 2007 |
|
2006 |
Médaille d’argent au Concours des Vignerons Indépendants 2009 |
Les commentaires de dégustation du sommelier Francis HOERLER (Membre de l’Union des Sommeliers de France assisté de Rémy BAIN Chef Sommelier Hédiard) :
Château Troquart, St Georges St Emilion 2003
Dans sa robe d’un beau grenat aux reflets pourpres, il présente, dans une intensité chaleureuse, des senteurs de gibier à plumes, contrebalancées par le fruité de la baie de sureau.
L’agitation va par contre développer les arômes gourmands des fruits noirs confiturés (mûre, cassis), délicats de la fleur de géranium.
Après une attaque franche, la bouche se trouve tapissée de petits tanins quasiment assimilés, cependant que l’on retrouve le charme du fruité.
Aux baies noires viennent s’adjoindre le poivron rouge, et la cerise dans une envolée kirschée, cependant qu’à l’arrière-plan se profile la truffe dans l’authenticité de son sol. C’est là une lettre de noblesse qui favorisera des plats de qualité.
La finale s’opère dans une petite amertume de laurier, de menthe sauvage, et de piment d’Espelette, garante d’une garde qui se prolongera.
On l’accordera donc, servi à 18°, et pour l’heure après carafage, à une Terrine de Canard au poivre vert, un Tournedos Rossini- plat noble s’il en est-. En saison, il escortera des Côtes de Marcassin grillées et purée de céleri, ou un Rôti de Biche aux châtaignes et salsifis.
Château Troquart, Saint Georges Saint Emilion 2006
C’est dans une robe grenat léger aux reflets carminés qu’il dévoile, dans une bonne intensité, des senteurs tièdes, animales, sanguines, sur fond de fourrure et de cuir de sellerie.
L’oxygénation nous emporte dans un autre univers : la dominante fuitée, presque confiturée se fait jour.
L’attaque franche fait ensuite place à une bouche ferme. Les petits tanins de peau feutrés sont encore en voie d’assimilation, roulant sur la langue comme la prunelle écrasée.
Mûre, myrtille et merise s’unissent pour l’exhalaison du fruit, cependant que les escortent les arômes du chocolat noir ainsi que le floral du coquelicot.
Le milieu de bouche reste tonique et prépare sans agressivité, mais avec certitude une finale frondeuse relevée par l’épice du piment d’Espelette.
Ce vin sera servi à 17°, et pour l’heure après carafage, avec une Terrine de Queue de Bœuf, un Carré d’Agneau aux herbes et pommes Darphin, un Onglet aux échalotes. En saison, il accompagnera des Côtes de Sanglier sauce poivrade.
Vous pourrez aussi consulter les avis d’autres amateurs éclairés en consultant le Guide Hachette ou autres Dussert-Gerber dans lesquels notre vin est régulièrement cité.